La clé des Illiégon

Arphen arriva au désert et se posa près d'une oasis. Il prononça une formule et le sceau des Illiégon brilla dans l'eau. Il entra dans l'eau et descendit ; Le sable en-dessous s'écarta, lui laissant un passage de libre menant à une salle en cristal comme celle au Mexique. Arphen s'assit en tailleur en son centre et murmura une formule courte. Une barrière de lumière l'entoura, le protégeant de toute agression extérieure et il ferma les yeux. Il prononça une formule plus longue et il s'immobilisa complètement. Son corps resta dans la salle alors que son esprit partit dans le monde des dieux pour rouvrir la porte des Illiégon.

certain dieux l'attendait c'était les gardiens
dieux: oh te revoilà on t'a donné l'aces une fois tu crois que on va renouveler le geste arphen!

Arphen leva la main et sourit.
Arphen : Salut.
Il les regarda et reprit son sérieux. Il secoua l'index calmement.
Arphen : Faux. Je peux revendiquer un accès quand je le souhaite, c'était l'accord. Et cette fois, la clé restera avec moi. Je ne laisserai pas mon cristal se briser bêtement.
Arphen baissa son bras.
Arphen : Je n'ai aucune envie de me prendre le chou avec vous. Vous savez que vous pouvez me faire confiance.
Il esquissa un sourire sincère.

dieux: l'accord a était fait avant que tu ne meurt séparer par t'es ames maintenant l'accord et terminer

Arphen : Désolé mais la porte des Illiégon a été le premier lien ce ce monde vers celui des mortels, et je ne vais pas vous laisser rompre ce contrat.
Arphen murmura une formule et la porte se déverrouilla.
Arphen : ... De plus, vous oubliez qu'ouvrir et fermer les portes est un de mes avantages dont je suis le plus fier. Et cette porte-ci, en l'occurence... C'est moi qui l'ai créée et ouverte pour la première fois. Elle est donc ma propriété, et même père respecte ça. Sur ce...
Arphen passa la porte, l'ouvrant définitivement. Son esprit regagna son corps et il cligna des yeux plusieurs fois.
Arphen : ... Bien. Plus qu'à faire la clé.

mais les dieux l'empecha mais la porte avait un nouveaux mécanisme
dieux: non! justement père a fait de nouvelles lois depuis quelque accident et vue tu es bani le seul lien que tu a encore d'acquis ses de pouvoir venir ici!
le dieux enfonça la main dans l'esprit de arphen
dieux: mais toi tu n'a plus le dont que tu avait!
arphen reçu une marque sur sa tête une marque sur l'esprit
dieux: père nous a dit qu'on avait toute autorité sur ceux lieux dont celui de t'imposer la marque qui empeche les banni d'utiliser nos pouvoir donc tu n'es plus un bani! mais un vulgaire mortel!

L'esprit d'Arphen se retourna et regarda le dieu.
Arphen : Mon petit... Je ne suis pas banni, nuance. Je suis allé dans le monde des mortels de mon plein gré, car je voulais créer un lien entre notre monde et le leur. Tu n'existais même pas quand j'ai ouvert le Premier Passage, alors que crois-tu ? Ta marque n'aura aucun effet sur moi. Et si ma porte a été trafiquée... Alors je n'ai plus qu'à en faire une autre.
Les cheveux d'Arphen se dressèrent sur sa tête et les dieux furent repoussés. Arphen prononça une formule complexe et une porte de lumière s'ouvrit, totalement indépendante des autres dieux.
Arphen : ... Et si père a quelque chose à dire, il n'a qu'à venir me trouver. On parlera calmement.

et le père arriva vue qu'il y avait une boule d'énergie qui permettais de voir et il apparue et fit s'incliner arphen
père: arphen! tu ose venir ici ! et repoussé mes fils alors que tu a clairement entendue les ordre

Arphen le vit arriver et il s'inclina de son gré.
Arphen : Père... Je vois que je vous ai manqué.
Il releva la tête. Ses yeux verts étincelèrent.
Arphen : Je n'ai pas à recevoir d'ordres d'eux. De plus, vous avez l'air indigné de me voir ici, mais le passage d'un monde a l'autre est mon don ! Avez-vous oublié votre satisfaction lorsque le Premier Passage s'est ouvert de mes mains ? Avez-vous oublié notre contrat ?

père: heureux au tout début mais tu n'étais pas le seul! que crois tu mais désormais vue les accident résament je t'interdit d'ouvrire de nouveaux passage!

Arphen : Les accidents récents ?

père: tu a cas te mettre au courant auprès de ton frère tyrilon

Arphen : Dites-les-moi plutôt, tant que vous êtes là.

tyrilon: a cause de t'es porte certaine créature se sont échappé! dont nos enemie et tu sait a quel point sa était difficile a les emprisonné!

Arphen pâlit.
Arphen : Je ne comprends pas... Mes portes sont fiables à 100% ! Quelqu'un a dû les trafiquer !

père: elle ne sont pas fiable! donc tu ne doit plus en ouvrire une seul!

Arphen : Vous n'avez pas besoin de me parler comme ça ! Laissez-moi une chance d'en ouvrir une dont moi seul aura la clé, et vous verrez si elle n'est pas fiable !

père: tu ose me contredire!

Arphen : Non je vous demande une requête ! Une seule porte !

père: requete non accepter! et n'insiste pas!

Arphen : Et qu'aura comme fierté ma famille, dans ce cas ? Dites-moi ! Souhaitez-vous tant que ça nous dévaloriser aux yeux des mortels ? Dites-moi quelle sera la nouvelle valeur des Illiégon alors, si le contrat n'est plus !

père: une valuer franchement j'en ai rien a faire!

Arphen : Et bien pas moi.
Son regard devint noir, le faisant davantage ressembler à Myu.
Arphen : Si vous ne m'accordez aucune valeur, je vais en trouver une moi-même. Et ne venez pas vous plaindre si elle vous déplaît.
Il se releva.

père: il vaudrait mieux pas pour toi! la valeur que tu a de valeur ses que tu soit un dieux!

Aphen : Je parle d'une valeur que je pourrai transmettre aux Illiégon ! Une véritable valeur, quelque chose de matériel dont ma famille pourra être fière !

le père le gifla dans un fracas
père: dit toi que ton sang n'aurait jamais du être meler au mortel! et avec le sang de tyrilon sa rajoute de l'intensité au prochaine génération! tu a bien transmit une chose

Arphen mit sa main sur sa joue et baissa les yeux.
Arphen : Elle n'était pas une mortelle... Elle... Elle est devenue....
Il laissa sa phrase en suspens.
Arphen : ... Peu importe... Mon sang n'est pas un héritage concret. Et ma famille ne peut se contenter de ses propres gènes...

dieux: en dehors des dieux et bani et nos enemie il y a que nous immortel même les vampire meurt a partir d'un certain age! alors explique moi qui elle était

Le regard d'Arphen se troubla un court instant.
Arphen : ... Ne changez pas de sujet, père. Qui elle était n'a pas d'importance.

père: si sa une importance!

Arphen : Vous n'avez pas besoin de hausser le ton !
Arphen regarda les gardiens des portes de travers.
Arphen : De toute façon, cette conversation est bien trop publique pour que je vous le révèle.

le père regarda ses fils et il s'en allèrent
père: va y

Arphen resta un moment interdit. Quand il se décida à parler, ses lèvres tremblaient.
Arphen : Vous souvenez-vous de celle qu'on appelait la Déesse Perdue ? Elle avait quitté malgré elle le monde des dieux et personne ne l'a jamais revue... Personne... A part moi...
Il ferma les yeux.
Arphen : Elle s'appelait Hiswana. Une mortelle, Arcania, l'a recueillie... Arcadia qui par la suite est devenue l'une de mes meilleures amies... Après avoir ouvert le Premier Passage, je... Je suis tombé sur Hiswana, par hazard, sur une colline....

pere: la déesse perdue une des anciennes dieux bien avant ta naissance et la guerre tu l'a retrouver?

Arphen : Si on veut, oui... Et je... suis tombé amoureux d'elle. Nous avons donc eu un enfant. Nous l'avons élevé jusqu'à ce qu'il soit en âge de diriger, puis nous l'avons laissé à son royaume, le royaume qu'il avait bâti de ses mains. Mais je m'égare. Hiswana commençait à devenir exécrable et de plus en plus insupportable, sans que je ne sache pourquoi. Elle commençait à me reprocher notre enfant... Jusqu'à en vouloir à ma propre existence.
Les mains d'Arphen tremblaient légèrement.
Arphen : Je ne savais pas quoi faire. J'ai décidé de partir un temps, histoire de la laisser se poser un peu. Quand j'ai voulu la retrouver... Ma Hiswana n'était plus. Elle était devenue un... une....
Arphen se tut et mit une main sur ses yeux.

père: une mortel surement du a l'enfant en dehors de notre monde les femmes qui mette au monde perde leur immortalité

Arphen secoua doucement la tête.
Arphen : Loin de devenir une mortelle, elle est devenue l'une de nos ennemis, père...

père: quoi? devenue l'un de nos enemie! comment elle a fait! c'est impossible!

Arphen recula.
Arphen : Je l'ignore... ! Si seulement j'en connaissais la raison, mais ce n'est pas le cas ! Elle a changé sans aucune raison apparente.....

père: donc? cette hiswana est encore dans la nature ! retrouve la moi! tu la trouver une fois tu peux recommencer attend.....et si c'était cette chose qui est sur terre les terrien l'apelle la brume

Arphen : Attendez... C'est un malentendu, je ne l'ai pas trouvée la première fois, je suis tombée sur elle par hasard... Et puis, vous vous rendez compte de ce que ça représente pour moi ?

père: vous êtes dtombé nez a nez maintenant qu'elle te connais tu devra la retrouvé

Arphen : ... Pourquoi... ? Pour que vous l'enfermiez, comme les autres ? Et puis qu'est-ce que ça peut faire, qu'elle me connaisse ?
Arphen détourna les yeux.
Arphen : J'ai déjà renoncé à vous en parler avant pour ne pas la mettre en danger... Je ne pourrais pas lui faire de mal....
Il soupira avant que son père ne se mette en colère.
Arphen : .... Les terriens l'appellent "la brume"... Si c'est bien Hiswana, ça m'éviterait de partir à sa recherche dans les 4 coins de l'univers... Je vais essayer de la trouver, alors...

père: il vaudrait mieux pour toi de la trouvé et de l'enfermer tu aura l'autorisation de gardez la boite au moins et la legué a ta famille mais tu devra faire en sorte que personne ne l'ouvre!

Les poings d'Arphen se serrèrent.
Arphen : Comment pouvez-vous me demander ça... ? J'aime Hiswana ! Je ne pourrai jamais l'enfermer et encore moins garder la boîte ! Je... Je veux la changer ! Je veux la faire redevenir comme avant... !
Il fit un geste vague et se regard se voila de tristesse.
Arphen : ... C'est bon, je sais ce que vous allez me dire... Ce n'est pas la peine de me voiler la face... Mais si je parviens à la ramener, je demande à pouvoir rouvrir ma porte en échange.
Arphen regarda son père.
Arphen : Êtes-vous d'accord... ?

le père des dieux regarda la porte et arphen
père: ses chose sont dénuer de sentiment et....bon très bien si tu réussi a la ramener j'accepte que tu rouvre cette porte mais tu n'y arrivera pas

Arphen : ... Si je n'arrive pas à la changer, c'est dans la boîte que je la ramènerai...
Ses mots coûtaient tant à Arphen qu'il se détourna.
Arphen : ... Père.... Avant que je m'en aille... Où est la boîte ?

père: tu parle de ta boite?
le père fit apparaitre la boite de arphen
père: tiens

Arphen prit la boîte et la fit disparaître.
Arphen : ... J'espère ne pas avoir à m'en servir.
Il soupira.
Arphen : ... Aurevoir, père.....
Arphen disparut.

père: en revoir